Ruralités

« Il faut penser le monde autrement, non pas en partant du global, mais du local, autrement dit du territoire et de ceux qui l’habitent »

Contexte
 Comment ne pas s’intéresser à l’histoire et à la vocation d’une initiative sociale qui a accompagné les débuts de l’industrialisation dans nos campagnes, à un moment où notre société connait aujourd’hui des bouleversements inédits ?
 Comment redonner à une structure plus que centenaire son rôle social, culturel et économique au service du Perche méridional en Loir-et-Cher ?
 Comment devenir un catalyseur de changement, chaque action, quelle que soit sa nature devant produire un effet levier, un impact innovant et mesurable ?
 Comment susciter des échanges, des partenariats et une collaboration entre populations terriennes, celles issues du grand urbain, immigrés et étrangères ?
Ceci afin de :
 Créer des liens de solidarité entre agriculteurs et consommateurs ;
 Rendre vivante la notion de bien commun (sortir de l’abstraction) ;
 Valoriser le patrimoine matériel et immatériel ;
 Être attentifs aux initiatives créatrices.

Exemple
La Fête de la Saint-Denis a vu le jour au XIIIème siècle.
Cette fête célèbre l’ancienneté de la cité de Mondoubleau et son rôle de carrefour des richesses agricoles et forestières. Aujourd’hui, elle se doit de stimuler le tissu économique de la commune et de ses environs. En bref : retrouver l’élan d’une production de richesses, enracinées, authentiques et locales.

La Fête telle qu’elle a été reconçue s’articule autour de trois axes :
 Un panier percheron (cidre, poiré, trèfle du Perche (IGP) etc…) ;
 Une foire aux bestiaux (bovin, ovin, caprin, petits animaux...) ;
 Le cheval percheron.

En partenariat avec l’organisateur, l’Union des Artisans et Commerçants de Mondoubleau (UCAM) et la promotion de la Société Départementale d’Agriculture 41 (SDA 41) et avec le marrainage de Madame Fabienne THIBEAULT, Chanteuse et Ambassadrice des races locales.
De ces deux manifestations, elle a rassemblée à chaque fois plus de 5000 visiteurs.

Quelques références
2023 juillet-août, Galerie 66, Sargé-sur-Braye « Dans le regard de Benoist Di Bento »
Exposition d’œuvres photographiques originales sur les patrimoines urbain, aéronautique et loir-et-chérien. Sous la direction de M. Henri CROUZET, galeriste, et en présence de Mme Catherine LHERITIER 1ère Vice-Présidente du Conseil départemental en Loir-et-Cher.

Depuis 2021, 2e Vice-Président en charge de l’Agro-Culture et de la Communication de l’AEP-L’Etoile.
Organisateur d’une quarantaine d’événements (8 expositions, 12 conférences & causeries, 1 déclamation poétique, 2 spectacles de paroliers & chansons, 2 spectacles de théâtre, 7 séances de cinéma, 2 découvertes culinaires internationales , 3 excursions culturelles, 2 participations au marchés de Noël, organisation de nombreux repas populaires, 2 fêtes cantonales…).en me mettant au service d’associations communales, cantonales, départementales, régionales et nationale et plus particulièrement au développement d’un centre social, culturel et économique.
Mise en place d’une :
 Charte graphique et de son logotype.
 Communication média grand public et spécialisé
 Orientation économique
 Mise en valeur du potentiel locatif des locaux

Depuis 2021 « Welkomer » auprès de l’Agence d’attractivité de Loir-et-Cher

2019 juillet-septembre, Château des Radrets, Sargé-sur-Braye, « Terre Natale ».
Regard photographique patrimonial entre le Loir-et-Cher et le Grassfield au Cameroun.
Sous la direction de Mme Simone DOUBLARD Du VIGNEAU, ancienne Directrice du Musée d’art et d’archéologie de Guéret. Inaugurée par Mme Karine GLOANEC-MAURIN, Présidente de la communauté de communes des Collines du Perche et Inspecteur général au Ministère de la Culture

1998, collaboration photographique avec le magazine L’ŒIL, et avec M. Adrien GOETZ de l’Académie française, « De jardins en Châteaux, le patrimoine architectural en Région Centre ».

AGIR

Qui suis-je ?

Je suis avant tout photographe. Passionné par le détail et la lumière. J’aime à découvrir les paysages qui se cachent au cœur de la matière.

Mes voyages, les rencontres qu’ils suscitent, m’ont amené plus en Afrique, plus particulièrement au Cameroun où j’ai noué des liens forts. J’y ai appris l’importance de la langue française et la grandeur de la francophonie des peuples, de leurs cultures, des langues qui les animent.

Paris a été mon berceau. J’ai grandi aux pieds des tours de la cathédrale Notre-Dame. J’y repasse souvent, mais aujourd’hui, je vis dans le Perche méridional, en grande ruralité et face à ses défis culturels, sociaux et économiques. L’attractivité des territoires me passionne.

L’agence culturelle Nohoo Studio est le produit de toutes ces expériences.